Parce que Catherine Frot incarne une Castafiore plus vraie que nature !

Parce que la réalisatrice de Persepolis nous raconte comment Marie Curie est rentrée dans l’Histoire.

Parce que Vincent Macaigne, que l'on connaissait grand acteur, s'affirme comme un grand réalisateur.

Parce qu'on adore les films d'Audrey Estrougo !

Parce que le film demeure le plus gros succès en salles pour un documentaire non animalier.

Parce qu'une nouvelle fois, Miller illustre ses obsessions sur l'enfance, la nature, la sexualité, la solitude.

Parce que Catherine Frot incarne une Castafiore plus vraie que nature !

Parce que pour le scénario sobre et tragique, pour ses 4 César, pour la mélancolie des acteurs.

Parce que cette comédie d'Eric Rohmer possède un fan inattendu en la personne de Quentin Tarantino, qui le conseillait aux clients du vidéoclub où il travaillait dans les années 1980.

Parce que le proverbe « Qui a deux femmes perd son âme, qui a deux maisons perd sa raison » soi-disant de Chrétien de Troyes, a été inventé par Eric Rohmer.

Parce que le film a été tourné sans scénario, au gré des improvisations des acteurs et actrices.

Parce que Clouzot a adapté le livre de Steeman sans l'avoir relu

Parce que Gabin et Marlène faillirent jouer dans ce 8ème film de Marcel Carné.

Parce que le Paris de Carné Prévert est "tout petit pour ceux qui s'aiment d'un grand amour"

Parce que la base du scénario s'est vraiment déroulé à Tulle en 1920.

Parce que c'est l'une des nombreuses merveilles nées de la collaboration entre Prévert et Carné.

Parce que Sidney Lumet disait souvent que le film était son meilleur

Parce que pour Orson Welles, Raimu était le plus grand acteur du monde

Parce que Micheline Presle y tient deux rôle et qu'elle y est doublement émouvante

Parce que même octogénaire et un peu plus, cette version du roman de Hugo est sans doute la meilleure.

Parce que c'est un Scarface à la marseillaise dont on redécouvre la modernité tous les 10ans

Parce que Raimu en truand toulonnais qui évolue dans des décors reconstitués à Berlin et non sur la Côte d'azur.

Parce que Joseph Kessel adapta son propre roman et Litvak en fit son propre remake

Pour un mélodrame aussi brillant que méconnu mais aussi pour redécouvrir Gaby Morlay, concentré de vitalité

Parce que la jungle de Malaisie a été reconstituée avec soin en région parisienne.

Parce que Clouzot donne pour la première fois un emploi d'envergure à Bourvil

Parce que Jean-Luc Godard, parce que Michel Legrand, parce qu'Anna Karina, parce que Prix spécial du jury et prix Pasinetti au Festival de Venise.

Parce que le cinéma en 149 plans, la photo de Raoul Coutard, la musique de Georges Delerue. Devant la caméra, Bardot parle avec Fritz Lang. Derrière la caméra, Godard filme en couleurs et en cinémascope la Méditerranée.

Parce que le plus étrange des films de science fiction, la plus singulière des aventures de Lemmy Caution Constantine dans un Paris que Jean Luc Godard tord jusqu’au fantastique.

Parce que " tendre et cruel, réel et surréel, terrifiant et marrant, nocturne et diurne, solite et insolite, beau comme tout : Pierrot le fou " Jean Paul Belmondo, Anna Karina, Jean Luc Godard, Porquerolles. 1965

Parce que le tournage, commencé en 1939, ne s'est fini qu'en 1941, interrompu plusieurs fois par la Seconde Guerre mondiale et la mobilisation de Jean Gabin et Jean Grémillon.

Parce que c'est une oeuvre de science-fiction délirante, absurde, sexuelle, déviante, hilarante !

Parce que Maurice Ronet joue un parachutiste assassin, rôle qu'il tenait déjà une quinzaine d'année plus tôt dans "Ascenseur pour l’échafaud" de Louis Malle.

Parce que la chanson du générique de fin est interprétée par Charles Aznavour.

Parce que c'est le second des deux films réalisés par Gérard Brach, scénariste entre autre pour Jean-Jacques Annaud, Claude Berri et Roman Polanski (qui lui a rendu la pareille en participant à l'écriture).

Parce que le couple Nadine et Jean-Louis Trintignant (elle réalisatrice et lui acteur) a tourné ensemble cinq long-métrages de cinéma, un court et deux téléfilms.

Parce que ce fut le dernier rôle au cinéma du toujours élégant Paul Meurisse.

Parce que la cupidité des dirigeants d’entreprise n’est pas nouvelle. La preuve, le cinéma en parlait déjà en 1978. Plus Serrault, Brasseur, Trintignant, Deneuve, plus le prix Louis Delluc et le César du meilleur film.

Parce que les représentants en parapluie y deviennent peintre.

Parce que le film de Jacques Rouffio n'était que le 7e d'Isabelle Adjani

Parce que c'est une oeuvre aussi méconnue que bouleversante sur la vie d'une femme dans une France qui n'existe plus.

Parce que Patrick Dewaere en moniteur de colonie (et Michel Blanc dans son 2ème rôle).

Parce que c'est le film qui a révélé Charlotte.

Parce que ce film offre la quintessence de l'univers de Claude Sautet, entre désarroi et tendresse.

Parce que Marguerite Duras trouvait son film raté.

Parce qu'en 1983 ce n'était pas évident que Thierry Lhermitte et Daniel Auteuil, alors connus comme les comiques de service, tiennent les rôles principaux d'un polar.

Alain Corneau transpose l’univers de Jim Thompson, ses meurtres minables et ses escrocs dérisoires, dans la banlieue parisienne qui se constitue alors. Nous sommes en 1978 et Patrick Dewaere est magnifique.

Parce que c'est le sixième et dernier film du cycle rohmérien des Comédies et Proverbes.

Parce que c'est la première collaboration entre Eric Rohmer et Fabrice Luchini, même si l'acteur a été coupé au montage.

Parce qu'Eric Rohmer s'est inspiré de la morale de la fable de La Fontaine "La Laitière et le Pot au lait" : " Quel esprit ne bat la campagne ? Qui ne fait châteaux en Espagne ?".

Parce que c’est un film hardcore, véritable ovni dans le paysage cinématographique français.

Parce que la présence de Gérard Jugnot jette un pont (ou plutôt un viaduc) entre la bande ces Charlots et celle du Splendid.

Parce que le film est composé de quatre histoires, trois tirées d'Edgar Allan Poe et une de Thomas De Quincey.

Parce que c'est une affaire de famille : le réalisateur René Manzor et le jeune acteur Alain Musy sont père et fils, mais aussi respectivement le frère et le neveu du compositeur Jean-Félix Lalanne.

Parce que Jean Yanne, Jean Lefebvre et Michel Galabru jouent ici des Anglais, alors qu’on ne fait pas plus français qu’eux.

Pour y apprendre que D'Artagnan a eu un fils qui ressemblait à Michel Leeb, du moins ici

Parce qu'on peut assister aux débuts d'un tout jeune Jean Reno, face à des vedettes confirmées comme Jean-Pierre Marielle, Darry Cowl et Daniel Prévost.

Parce que l'auteur du film a inventé de toute pièce un pays de l'Est, la Sdorvie, avec sa propre langue, ses traditions, sa musique (le groupe de rap Sdorvia Desko) etc.

Parce que le film met au coeur de son intrigue les rapports entre l’amour et l’argent, et qu'on assiste à la rencontre (au générique) entre Dominique Besnehard et Paulette Dubost.

Parce que la plage arpentée par les personnages est celle sur Belle-Île-en-Mer.

François Ozon a tourné beaucoup de courts métrages au début de sa carrière, mais celui-ci a été réalisé bien plus tard, entre deux longs ("Le Temps qui reste" et "Angel").

Parce que le réalisateur Benoît Bouthors a tourné plusieurs de ses courts métrages en Corse.

Parce que le rôle principal est interprété par la musicienne pop-rock Fishbach.

Pour se rappeler à quel point l'élection de François Mitterrand a provoqué un raz-de-marée dans la société française.

Parce que c'est le premier court métrage d'Antoine Du Jeu, qui a été critique aux Cahiers du cinéma.

Parce que la coréalisatrice Lucie Rico a également publié plusieurs romans.

Parce que ce court métrage nous montre que la restauration est parfois un univers impitoyable.

IL faut découvrir le talent de Paul Nouhet, devant et derrière la caméra.

Parce que cette intrigue n'est pas si folle si on prend en compte les progrès des effets spéciaux, qui permettent de continuer à faire jouer des acteurs décédés ou de remplacer un acteur par un autre sans ce que cela se remarque.

Parce que le titre est une locution latine bien connue (cf.les pages roses du dictionnaire), attribuée à Caton l'ancien dans le cadre des guerres puniques et qui signifie : "Il faut détruire Carthage !"

Parce qu'avec Jean Dujardin en tête d'affiche, cette histoire d'avion en péril ne pouvait pas être un film-catastrophe comme les autres.

Parce que la musique est signée par le groupe d'électro M83, dont l'un des membres est le frère du réalisateur Yann Gonzalez.

Parce qu'une "sage-femme" peut aussi être un homme sage.

Parce que le film est une fiction mais intègre d'authentiques images de la grossesse de la réalisatrice et actrice Lucie Borleteau, filmées par son amie comédienne Sara Rastegar.

Parce qu'il faut savoir que l'acteur Estéban n'est autre que le fils du réalisateur Philippe Clair, roi de la comédie nanarde ("Le Führer en folie", "Si t'as besoin de rien... fais-moi signe" et autres pépites).

Parce que "Yandere" est un terme japonais qui décrit la façon dont l'amour dérive en folie furieuse ; ce qui résume bien ce court métrage.

Parce que le titre de ce court métrage fait référence à un fameux film de Maurice Pialat.

Parce que le décor poétique choisi par la réalisatrice se situe à Nanterre : il s'agit des bien nommées "tours nuages".

Parce que la bande originale est un mélange de musique classique (Mozart, Bach) et de northern soul.

Parce que les deux réalisateurs sont également musiciens (ce qui est raccord avec le sujet du film) et ont composé la musique de leur court métrage.

Pour la brève rencontre de deux grands acteurs comiques français: Pierre Richard et Jacques Villeret.

Dès ses débuts, le futur réalisateur de "L'emploi du temps" et "Entre les murs" nous parlait déjà d'engagement politique.

Parce que ce court d'animation a été primé au prestigieux festival d'Annecy, en plus d'être nommé aux Césars.

Parce que le réalisateur Alexandre Labarussiat connait bien le monde de l'escrime, sport qu'il a pratiqué pendant des années... et cela se voit !

Parce que ce court métrage pudique, récompensé aux Césars, réunie l'actrice Marilyne Canto (également réalisatrice), son compagnon Antoine Chappey et leur fils Louis.

Parce que c'est la lauréat du César du meilleur court métrage en 2003.

Parce que c'est un hommage au cinéma en général et au film "Les Parapluies de Cherbourg" de Jacques Demy en particulier.

Parce que ce film sans parole fait la part belle aux musiques envoutantes du compositeur estonien Arvo Pärt.

Parce que le film est de Truffaut puis de Godard (qui a fait la bande son)

Parce que Thomas Salvador est réalisateur et acteur, mais aussi prestidigitateur, alpiniste, danseur et acrobate.

Parce que cette séance de psy pas comme les autres illustre impeccablement le principe de l'inquiétante étrangeté.

Parce que l'animation (de marionnettes) permet d'aborder de façon inattendue le thème de la maladie.

Parce qu’on trouve parmi les seconds rôles (l'équipe de tournage) le futur réalisateur Patrice Leconte et le théoricien du cinéma Jacques Aumont.

Parce que le 71 rue Blanche est l'adresse de l'atelier du sculpteur Christophe Boutin, coréalisateur du film.

Parce que ce titre imprononçable correspond au nom latin du Manchot Empereur, qui est justement le sujet du film.

Parce que cette comédie burlesque sans dialogues est l'occasion de revoir, dans le rôle-titre, le regretté Christophe Salengro, président à vie du Groland.