Parce que cet habile mélange entre le film d'horreur et film de guerre reçut 3 prix au Festival Gérardmer de 2002 dont le Prix du Jury.

Parce que c'est un film hommage à l'âge d'or du cinéma italien de Scola à Fellini...

Parce que Christian Petzold adapte et modernise avec un brio un grand roman politique écrit sous l'Occupation et se déroulant durant cette période.

Parce que ce thriller raconte, en un plan unique de 2h, une nuit à Berlin qui dégénère.

Parce que le film aborde avec intelligence et délicatesse la thématique de la maternité chez les adolescentes et permet à la jeune actrice Carla Quílez de crever l'écran dans son premier rôle !

Parce que c'est l'oeuvre folle et hilarante d'un génie finlandais qui gagne à être connu.

Parce que l’anorexie mentale au coeur du film est racontée par une réalisatrice qui a été touchée par cette maladie.

Parce qu'on y voit un sosie de Donald Trump en Lituanie s'emparer d’un élevage de cochons.

Parce que cette satire de la société bulgare est basée sur une étonnante histoire vraie.

Parce que derrière ce titre énigmatique se cache un film doux et très juste sur le deuil.

Parce qu’il n'y a pas vilain plus vilain que Vitali, le méchant joué par Helmut Berger.

Parce que ce film est comme une promenade cauchemardesque dans le Berlin Ouest du début des années 1980.

Parce que ce polar avec pour toile de fond est signé par un étonnant metteur en scène autrichien, qui a réalisé des comédies, des films d'horreur mais aussi des westerns !

Parce que le cinéma urbain allemand des années 80 pouvait rivaliser avec les séries B américaines badass.

Parce que auto-produite avec peu d'argent, cette “série Z volontaire” retrouve l'esprit vintage et l'ambiance déjantée du cinéma d'exploitation des années 70.

Parce que la vengeance est un plat qui se mange froid, et qu'on ne dit jamais non à une héroïne franchement badass !

Parce que le lion est alternativement en animatronique (un gros robot) et en images de synthèse.