SODOPUNITION POUR DEPRAVEES SEXUELLES en VOD
- De
- 1987
- 77 mn
- Adulte
- France
- - 18 ans
1 MIN AVANT
1986. De nombreux producteurs français de films classés X ont renoncé aux coûteux tournages en 35 mm. Sauf des irréductibles comme Pierre Unia, qui débuta dans la comédie soft en 1973, avec Le Pied. Avec de nombreux pornos à son actif, l’homme a du métier, aime les décors naturels et les récits épicés de violence sexuelle et de spécialités.
Son Sodopunition ose des chemins de traverse périlleux. Il est préférable de ne pas être exigeant sur le réalisme de la psychologie féminine. Ainsi des promeneuses surprises par deux bûcherons se font violer, se débattent logiquement pour ensuite admettre, satisfaites, qu’elles ont bien joui. « Nous les bûcherons, on est rien que des brutes », s’excuse presque l’un deux. Pendant ce temps, une troisième demoiselle, qui pensait vraiment que ses copines étaient violées, court dénoncer les agresseurs auprès de leurs patrons. Quelle idée ! La voici qui se fait violer, pour de bon, par M. et Mme Silvero.
La dernière partie, dans la scierie, est la plus réjouissante. Les bûcherons et leurs conquêtes décident d’offrir une vengeance gratinée à la copine abusée. Ils se font aider par l’employé de la scierie, qui est nain. Déguisé en Zorro, celui-ci surgit, fusil au poing, pour soumettre le patronat. Silvero est menotté, sa femme tenue en laisse. Le film dérape alors dans du hard peu courant : humiliation, urolagnie, lavement, cuckolding, nanophilie. La carte maîtresse est la présence infatigable d’un débutant : Rocco Siffredi.
Dans le même genre vous pouvez trouver VIOLS EN CUIR, ENCHAÎNÉES DE PLAISIR (De Pierre Unia, 1985. Unia utilise la même thématique de l'abus sexuel punitif.) ou encore I SPIT ON YOUR GRAVE (De Meir Zarchi, 1978. Dans le cinéma d'exploitation, il n'est jamais bon pour une femme de se promener dans les bois.).