Depuis la création de Dracula par Bram Stoker, le cinéma n’a cessé d’explorer la symbolique sexuelle du vampirisme. Les crocs phalliques, la morsure comme baiser, la possession, le sang, la nuit. Les œuvres de Murnau, de Browning, de Fisher évidemment, sont aussi de beaux poèmes érotiques. La puissance séductrice du vampire inspire naturellement la pornographie, qui déploie peu...