Dans le monde entier, le même phénomène se reproduit, pays par pays : les seuls films qui réussissent à partiellement déloger les blockbusters hollywoodiens des premières places du box-office sont des films d’action ou des comédies populaires locales qui ne réussissent pas à s’exporter hors de leurs frontières.
Voici donc l’occasion de découvrir une véritable curiosité que seul peut permettre un tel type de diffusion via internet : du cinéma familial danois ! Et on est, bien sûr, loin de la vision véhiculée par le chef-d’œuvre
Pelle, le conquérant. La première Palme d’Or de Bille August (avant
Les Meilleures intentions), relatait le terrible quotidien d’un père et son fils dans la campagne du XIXe siècle. Ici, tout est plus léger...
Dans le premier volet de
Papa se plie en quatre, plus gros succès danois de l’année 2005 (et remake d’un succès du début des années 70), un gentil papa dépassé par la volubilité de ses quatre rejetons est relooké par leurs soins pour éviter d’être licencié par son entreprise. Dans ce second épisode des trois que compte la série, notre simili Club des 5 vient en aide à un vieil oncle farfelu. Qui a dit qu’il y avait quelque chose de pourri dans le Royaume du Danemark ?!
Dans le même genre vous pouvez trouver FANTÔME À VENDRE (RENÉ CLAIR, 1935) ou encore YOURS, MINE AND OURS (UNE FAMILLE 2 EN 1, RAJA GOSNELL, 2005) .