BEETHOVEN 2

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Vous connaissez le principe cher aux producteurs hollywoodiens et aux producteurs tout court d’ailleurs : pourquoi ne pas profiter de l’aubaine quand apparemment le public en raffole ! Autrement dit : « tiens, ça a cartonné, et si on mettait immédiatement une suite en chantier ? ». C’est ce qui s’est passé après le succès de « Beethoven » au cinéma en 1992. L’année suivante sortait sur les écrans le 2e volet des aventures de l’adorable gros chien, saint-bernard de son état.

Cette fois, notre toutou est amoureux de la belle Missy mais... Problème, la maîtresse de Missy est une méchante femme qui veut utiliser sa chienne comme objet de chantage pour son divorce. Autre souci, Beethoven et Missy ayant fait plus ample connaissance, quatre petits chiots adorables vont voir le jour, amplifiant la cupidité de la propriétaire de Missy.

Seule solution pour la famille Newton, à qui appartient Beethoven (ça va, vous suivez ?) prendre les choses en main et tout faire pour que les bambins du couple canin ne soient pas les victimes de l’affaire…

 
Dans le même genre vous pouvez trouver BEETHOVEN (Avant de voir le 2e épisode, pourquoi ne pas revenir à la base et revoir le tout premier volet de la saga ?) ou encore CUJO (Le saint-bernard est un des chiens les plus adorables qui existent, sauf quand la rage et Stephen King se chargent de le transformer en machine à tuer...).

Au cas où vous auriez vous aussi craqué pour les aventures du célèbre saint-bernard, rassurez-vous : il nous en reste encore en magasin ! Après les deux premiers épisodes de la saga, le studio Universal a logiquement décidé de poursuivre l’aventure. « Beethoven 3 » est donc sorti en 2000, suivi par un N°4 l’année suivante. En 2003, le gros chien était de retour dans « Le trésor perdu » où il déterre un magot oublié. En 2008, le voici vedette de cinéma dans « Beethoven's Big break (Une star est née !) » avant qu’en 2011 il ne « Sauve Noël » en retrouvant les cadeaux des enfants du monde entier et qu’en 2014, il ne se lance sur la piste du « Trésor des pirates ». Vous en voulez encore ? OK : je vous signale qu’une série télé animée existe également mais il faut là remonter au milieu des années 90 pour la dénicher…

Beethoven le chien est donc ce qu’on peut appeler une valeur sûre du grand et du petit écran, on ne peut pas en dire autant de Ludwig van Beethoven pourtant illustre compositeur allemand de musique, qui de la fin du 18e siècle au début du 19e fit le pont entre romantisme et classique. Si son œuvre majeure reste aujourd’hui célébrée, notamment la 9e symphonie, on ne peut pas dire que le cinéma se soit véritablement passionné pour le destin du génie. On trouve bien en 1909 un film muet sobrement intitulé « Beethoven » dans lequel Harry Baur incarne le musicien, rôle qu’il retrouvera en 1936 dans « Un grand amour de Beethoven » cette fois sous la direction d’Abel Gance. Après, c’est le grand vide jusqu’en 1995 avec « Ludwig van B » de Bernard Rose puis « L’élève de Beethoven » de la réalisatrice polonaise Agnieszka Holland, s’intéressant aux dernières années de la vie du compositeur alors devenu, c’est un comble on le sait, sourd comme un pot !

En revanche, la musique de Beethoven a illustré nombre de films. « Orange mécanique » de Stanley Kubrick en est une illustration majeure. Le cinéaste britannique disait d’ailleurs : « nos compositeurs de musique de films, aussi bons soient-ils, ne sont pas Beethoven, Mozart ou Brahms » !

javais tellement aimé le 2 quand j'était plus jeune !!!! surtout avec la méchanye la blonde olala qu'elle était vraiment méchante elle jouait tellement bien son role !!!! j'avais envie de la détesté devant ma télé lol non vraiment j'ai vraiment bien aimé ce film :) ...