Le film à voir si vous voulez vous rassurer sur la stabilité de votre couple et vous convaincre que même Ryan Gosling peut être (très) malheureux en amour.

Parce que ce drame sur la réinsertion révèle un acteur formidable, Andrew Garfield, qui a fait du chemin depuis.

Parce que le deuxième film de Ben Affleck est un bijou de film noir.

Un nouveau chant d’amour dédié à sa ville par le plus new-yorkais des réalisateurs, Spike Lee, réalisé au lendemain des attentats du 11 Septembre, avec un casting en état de grâce.

Parce que ce film historique multi-récompensé de Yorgos Lanthimos se révèle une satire noire et grotesque de l’aristocratie anglaise.

Parce que l'on retrouve l’atmosphère pesante des grands films noirs dans ce thriller haletant brillamment mis en scène.

Parce qu'Orson Welles a tourné ce film, souvent considéré comme le plus grand film de l’histoire du cinéma, à seulement 25 ans.

Parce que Marjane Satrapi a porté à l'écran sa bande dessinée éponyme, basée sur ses souvenirs d'enfance et d'adolescence.

Parce que c’est l’adaptation du best-seller satirique de Tom Wolfe qui raille la petite bourgeoisie new-yorkaise.

Le film choc d’une génération sur le thème des ravages de la drogue. Un marqueur de la pop culture des années 2000. Le film qui fit de Darren Aronofsky un réalisateur star.

Le deuxième film de Gus Van Sant, posant les bases de son univers à la fois poétique et âpre sur les tourments d’une jeunesse sans cap, à la liberté aussi grisante que destructrice.

Lui-même résistant, Jean-Pierre Melville signe un film paradoxal, à la fois grande fresque sur ces hommes et ces femmes qui ont défendu la France pendant l’Occupation et oeuvre intime et dépouillée.

Parce que le film lança la carrière de Pacino, car c'est ainsi que Coppola le choisit pour Le Parrain.

Parce que Marjane Satrapi a porté à l'écran sa bande dessinée éponyme, basée sur ses souvenirs d'enfance et d'adolescence.

Parce que, pour son premier film, Ridley Scott cherche à retrouver la lumière du Kubrick de Barry Lyndon.

Parce que le deuxième film de Ben Affleck est un bijou de film noir.

Parce que ce film est l'archétype parfait du thriller paranoïaque des années 70, et que le regretté Robert Redford est parfait dans le rôle de l'intellectuel "de bureau" transformé en proie.

Parce que cette adaptation libre du roman de la Comtesse de Ségur est le premier film de Jacqueline Audry, l'une des très rares réalisatrices des années 1940.

Parce que c'est une adaptation du roman du même nom de John Steinbeck publié en 1939 et récompensé du prix Pulitzer l'année suivante.

Film culte des années 1980, qui offre par ailleurs son premier grand rôle au cinéma à Robin Wright, Princess Bride est une parodie maligne et ironique des contes de fée.

Adapté du roman de Jean Cocteau par lui-même, qui jette son dévolu sur Jean-Pierre Melville pour la réalisation, ce film théâtral et vénéneux offre une partition idéale à l’actrice Nicole Stéphane.

Parce que cette histoire digne des frères Coen fait passer les aventures de Very Bad Trip pour une soirée Monopoly-tisane.

Parce que cette comédie culte, la première des frères Farrelly, cache derrière son insondable débilité une plongée dans l’Amérique des laissés-pour-compte.

Parce que ce film d’épouvante, qui joue sur la figure du loup-garou, prouve que l’horreur naît parfois plus du son que de l’image.

Parce que ce film de survie se déroule intégralement... dans des toilettes de chantier.

Parce que les effets spéciaux hyper réalistes de ce film très gore vont mettre vos nerfs à rude épreuve.

Parce qu'il n'y a pas que le titre du film qui soit singulier, le contenu l'est aussi.

Parce que le plan final a été réalisé avec du latex, de la viande pour chiens et des foies de lapin

Parce que c’est l’histoire de la revanche des geeks losers devenus les rois du monde au XXIe siècle.

Parce que le pitch est complètement délirant : un tueur en série se met à décapiter des réalisateurs iraniens. Sauf un...

Avant de se lancer dans South Park, Trey Parker et Matt Stone égratignaient déjà la société américaine avec un faux western, mais vraie satire, percutante et grinçante.

Parce que David Croneberg a écrit son film après un divorce douloureux, ça se sent!

Entre pastiche du film d’action et série B assumée, Troma’s War est l’un des fleurons de Troma Entertainment. Et reprend tout ce qui fait l’identité du studio américain indépendant, entre goût pour le gore, trash exploitation et satire sociale.

Rare incursion de Martin Scorsese dans le biopic, Aviator profite du parcours faramineux d'Howard Hughes pour être aussi un superbe cours d'histoire du cinéma de studio hollywoodien.

Cette chronique joyeuse et enjouée fait le pari fou de ne tenir que sur son personnage principal, la singulière Poppy, aussi charmante qu’agaçante. Le cinéaste Mike Leigh apparaît au meilleur de sa forme avec un dispositif simple mais maîtrisé de bout en

Projet aussi pharaonique qu'au long cours, Gangs of New York est l'oeuvre la plus ambitieuse de Martin Scorsese : raconter la naissance de l'Amérique moderne.

Parce que Taika Waititi arrive à faire rire en racontant l’histoire d’un gamin embrigadé dans les Jeunesses Hitlériennes.

Parce que Sons Of Denmark est un film d’anticipation des années 2010 dont l’histoire démarre pile... en 2025.

L’autre film de la consécration pour Steven Soderbergh, lui ayant valu son Oscar du meilleur réalisateur, près de dix ans après la traversée du désert ayant suivi sa Palme d’Or pour Sexe, Mensonges et Vidéo.

Parce que derrière cette histoire de justice non rendue se dessine un avertissement contre la loi du plus fort.

Parce que ce troisième épisode parvient à être dans la lignée des deux premiers tout en allant encore plus loin.

Parce que le réalisateur Kim Seong-hun a dévoilé s’être inspiré du film Sang pour sang des frères Coen.

Parce que c'est le premier film réalisé par l'acteur Vincent Gallo, qui défraya la chronique avec son deuxième long-métrage, "The Brown Bunny".

Parce que c'est le premier film de Quentin Tarantino en tant que réalisateur et que presque tous les germes de son style sont déjà là.

Parce que ce film culte des années 90 se révèle être une satire politique largement incomprise à sa sortie.

Parce que quand un grand maître de l'étrange et du fantastique s'intéresse aux jeux-vidéo et questionne ses dépassements, il nous offre une oeuvre glauque et complètement fascinante.

Parce que ce monument de l'animation japonaise est clairement influencé par "Blade Runner" et "Terminator", et a à son tour influencé "Matrix".

Parce que cette comédie culte, la première des frères Farrelly, cache derrière son insondable débilité une plongée dans l’Amérique des laissés-pour-compte.

Parce que Terrence Malick explore le comportement d'hommes ordinaires lors d'un conflit armé, et ainsi livre une réflexion sur la guerre.

Parce que Kusturica déconstruit le mythe américain grâce à une Faye Dunaway étincelante et un Johnny Depp fêlé, entre rêve et réalité.

Parce que Michael Douglas considère ce film comme sa meilleure performance.

Parce que ce film devenu culte est un petit plaisir coupable qui se regarde au second degré.

Parce qu'Abel Ferrara revisite à sa manière "Roméo et Juliette" et "West Side Story".

Parce que David Lynch a imprégné le film de son ADN artistique unique.

Sorte de version alternative de French Connection, sorti deux ans plus tôt, un polar brutal, réaliste et ambigu dans la New York décatie des années 70.

Mal-aimé à sa sortie en 1972, l’ultime film de Jean-Pierre Melville conjugue pourtant le jeu intense d’Alain Delon à la figure d’un personnage solitaire et torturé, prisonnier d’une implacable tragédie.

Parce que Belmondo rayonne face à Richard Anconina, et nous surprend par sa sensibilité.

Avec son cultissime film de casse, Jean-Pierre Melville enfonce le clou de ses obsessions pour les polars à l’os doublés d’études de caractères. Et la séquence centrale du cambriolage, quasiment muette, inspirera Michael Mann.

Le premier des trois chefs d’oeuvre indiscutables de William Friedkin, un an avant L’Exorciste, et cinq ans avant Sorcerer, qui révolutionna le film policier grâce à son style ultra-réaliste.

Le deuxième film de Gus Van Sant, posant les bases de son univers à la fois poétique et âpre sur les tourments d’une jeunesse sans cap, à la liberté aussi grisante que destructrice.

Parce que le film lança la carrière de Pacino, car c'est ainsi que Coppola le choisit pour Le Parrain.

Parce que le film a été tourné sur la même voie ferrée que celle du Mécano de la General

Parce que derrière l’innocence d'un enfant peut se cacher le Mal absolu...

En adaptant le prix Goncourt de Béatrix Beck, Jean-Pierre Melville signe l’un de ses films les plus dépouillés et les plus inventifs à la fois, cachant derrière l’histoire quelque peu austère d’une conversion des effets de caméra et de montage époustoufla

Parce que Melville s'essaie pour la première fois au polar, qui deviendra son genre de prédilection.

Adapté du roman de Jean Cocteau par lui-même, qui jette son dévolu sur Jean-Pierre Melville pour la réalisation, ce film théâtral et vénéneux offre une partition idéale à l’actrice Nicole Stéphane.

Parce qu'Orson Welles a tourné ce film, souvent considéré comme le plus grand film de l’histoire du cinéma, à seulement 25 ans.

Parce que Sam Peckinpah considérait Un nommé Cable Hogue comme son film favori dans sa propre filmographie.

Parce que Sam Peckinpah a réuni un duo de légendes du 7e Art, Randolph Scott et Joel McCrea dans un western d’une intense beauté.

Parce que le tournage du film prit 3 ans sur 4 ou 5 lieux différents, usa 3 vedettes feminines et 5 chefs opérateurs

Parce qu'il faut voir la séquence finale et ses 122 cadavres

Parce que c'est le premier film de l'après-guerre qui tente réellement de faire face aux atrocités de la Shoah.

Le deuxième film d’Orson Welles, qui aurait dû conforter sa place de roi du cinéma et du box-office, mais qui, en raison d’un studio qui massacra son montage, inaugura sa réputation de réalisateur maudit.

Parce que c'est le 15 septembre 1954 que fut tournée la mémorable scène de la bouche de métro.

Dans ce drame intimiste et organique, Rebecca Miller, figure mésestimée du cinéma indépendant américain, embrasse l’effondrement des illusions libertaires nées dans les années 1970.

Parce que Tarantino livre un melting-pot décomplexé sur ses influences de cinéma d'exploitation, et entame un cycle politisé sur la revanche des minorités dans sa filmo.

Parce que la vengeance de la Mariée, promise pour ce Volume 2, a un arrière-goût étonnant de regrets.

Parce que Kusturica déconstruit le mythe américain grâce à une Faye Dunaway étincelante et un Johnny Depp fêlé, entre rêve et réalité.

Film culte des années 1980, qui offre par ailleurs son premier grand rôle au cinéma à Robin Wright, Princess Bride est une parodie maligne et ironique des contes de fée.

Mal-aimé à sa sortie en 1972, l’ultime film de Jean-Pierre Melville conjugue pourtant le jeu intense d’Alain Delon à la figure d’un personnage solitaire et torturé, prisonnier d’une implacable tragédie.

Lui-même résistant, Jean-Pierre Melville signe un film paradoxal, à la fois grande fresque sur ces hommes et ces femmes qui ont défendu la France pendant l’Occupation et oeuvre intime et dépouillée.

Très inspiré par le film noir américain, Jean-Pierre Melville creuse encore le sillon du genre policier en opposant Serge Reggiani et Jean-Paul Belmondo. Sa mise en scène précise et épurée confine parfois à l’abstraction.

Parce qu'à travers des histoires entrelacées, le film explore les liens entre la vie, la souffrance, le destin.

Rare incursion de Martin Scorsese dans le biopic, Aviator profite du parcours faramineux d'Howard Hughes pour être aussi un superbe cours d'histoire du cinéma de studio hollywoodien.

Parce que les Wachowski exécutaient leurs gammes dans le polar avant de s'attaquer à Matrix.

Parce que la mélancolie américaine aura rarement été aussi bien filmée que par Wong Kar-wai.

Parce que cette petite production sans prétention se permet une piqûre de rappel nostalgique en embrassant une culture désormais oubliée.

Parce que ce film de survie se déroule intégralement... dans des toilettes de chantier.

Variation joyeusement foutraque autour de la figure du Dr Frankenstein et de sa créature, Frankenhooker représente la quintessence de la série B des années 1990, entre image grainée et inventivité qui vient pallier le manque de budget.

Partant d’une peur relativement universelle, celle du passage obligé chez le dentiste, le réalisateur Brian Yuzna signe un film d’horreur inventif, drôle et gore à la fois, qui n’est pas sans rappeler David Cronenberg.

Après un premier slasher inventif et gore à souhait, Brian Yuzna reprend l’idée d’un dentiste psychopathe dans une suite plus sombre encore, qui joue avec notre peur profonde du détartrage et de la fraise.

Parce que ce film de science-fiction et d'horreur est une merveille de minimalisme (décor unique et petit budget), qui invite à réfléchir sur la nature humaine.

Parce que le réalisateur Mark Ezra porte le masque du tueur dans certaines scènes, en raison du suicide de l'acteur Simon Scuddamore quelques jours seulement après la fin des prises de vue principales.

Avant de se lancer dans South Park, Trey Parker et Matt Stone égratignaient déjà la société américaine avec un faux western, mais vraie satire, percutante et grinçante.

L'univers de la série B post-apocalyptique passée à la moulinette des productions TROMA, spécialisées dans le nanar premium: fun, trash et provocant. Mais surtout délirant !

Parce que si Marck Rosman le réalisateur a travaillé à Brian de Palma, son film fait parfois penser à Carrie au bal du diable.

Parce que son ambiance glaciale et sombre renouvelle brillamment le genre vampirique

Parce que le film allie le réalisme propre au cinéma anglais à l'ultra-violence des films de gangsters.

Parce qu'il faut découvrir le talent et la beauté de Lou Lampros.

Parce qu'il n'y a pas que le titre du film qui soit singulier, le contenu l'est aussi.

Parce que la réalisatrice a découvert son actrice principale après l'avoir vu danser.

Parce que ce mélodrame situé au Brésil confirme l’actrice portugaise Maria de Medeiros comme une cinéaste engagée.

Parce que cette chronique d’une famille à la dérive est réalisée par Teresa Villaverde une des figures les plus remarquables du cinéma portugais actuel.

Parce que Sons Of Denmark est un film d’anticipation des années 2010 dont l’histoire démarre pile... en 2025.

Parce que ce beau film musical raconte l’histoire d’un rockeur sur le retour en se plaçant à mi-chemin entre fiction et documentaire.

Parce que le tournage du film en Louisiane ne fut pas une mince affaire et que ça se sent !

Parce que Jonathan Rhys Meyers livre une touchante performance et déconstruit le mythe du sauveur blanc.

Parce que ce voyage au coeur d’une Angleterre en déroute sociale a les accents douloureux et tendres de ces grands drames qui hantent le cinéma british.

La passe de deux de l’acteur-réalisateur Til Schweiger, qui donna, en 2013, une suite à son grand succès populaire, en retrouvant son personnage de scénariste à la vie familiale chaotique.

L’occasion de découvrir que la trogne patibulaire de Til Schweiger, grand habitué des rôles de méchants à Hollywood, cache un réalisateur allemand à succès, comme le prouve cette comédie familiale inédite en France.

Et si Maman j’ai raté l’avion rencontrait Piège de Cristal dans le cadre idyllique d’un chalet de montagne, mais avec... des chiens et des chats doués de paroles en guise de héros ?!

Parce que cette chronique estivale adolescente permet de voir la France méridionale filmé d’un point de vue Hollandais.

Parce que le réalisateur Michel Ocelot ne fera pas de suite à son troisième volet, qui clôt donc magnifiquement la trilogie.

Parce qu'il faut entendre la musique de ce second volet avec Manu Dibango et Youssou N'Dour, un bonheur.

Parce que c'est une animation russe et que Savva signifie : cœur de guerrier

Librement adapté d’un roman de science-fiction, ce film est le fruit du travail conjoint de l’auteur de BD Caza et du réalisateur Philippe Leclerc. Outre un dessin aux lignes travaillées, on y retrouve une intéressante réflexion politique.

Parce que ce premier volet a eu une influence majeure sur l'animation à la française.

Parce que l'univers merveilleux de "Bayala" est à l'origine une gamme de jouets très populaires en Allemagne.

Parce que Les Triplettes de Belleville est un des films d’animation français les plus reconnus de tous les temps, entre ses récompenses aux César et à Annecy, sa sélection à Cannes et sa nomination aux Oscars.

Parce que ces histoires courtes ont été réalisées pour la télévision en 1989, avant d'être compilées au cinéma dix ans plus tard, sans rien perdre de leur beauté et de leur charme.

Parce que c'est l'une des plus belles, audacieuses et réussies adaptation du classique de Victor Hugo.

Parce que tourné en 1950, en pleine ségrégation aux États-Unis, le sujet était extrêmement courageux.

Parce qu'un petit garçon recherche son étoile et découvre une fabrique de rêves

La performance hallucinante de Margot Robbie lui a fort justement valu une nomination aux Oscars 2018...

L’autre film de la consécration pour Steven Soderbergh, lui ayant valu son Oscar du meilleur réalisateur, près de dix ans après la traversée du désert ayant suivi sa Palme d’Or pour Sexe, Mensonges et Vidéo.

Parce que c'est l'histoire d'une des terribles erreurs judiciaires de l'Affaire Outreau.

Parce que c'est un documentaire impactant, poignant, perturbant même, sur l'influence du groupe religieux connu sous le nom de Temple satanique.

Parce que l'on retrouve l’atmosphère pesante des grands films noirs dans ce thriller haletant brillamment mis en scène.

Parce que Michael Douglas considère ce film comme sa meilleure performance.

Parce que ce film met en lumière les rapports troubles entre les mondes de la politique et des médias.

Parce que la réalisatrice, malgré dix ans passés à Paris, a tenu à revenir dans la Provence qui l’a vu grandir pour y inscrire cette histoire d’amour interdite, et aussi pour rendre hommage au pays, à sa culture et à ses habitants.

Parce que ça nous plonge dans un état de libération jubilatoire et primitive !

Parce que ce film mélange avec brio la chronique adolescente et les tourments de notre époque instable.

Parce que Jules Follet peint à la perfection les charmes et les travers d’un pur looser

Parce que la musique est signée par le groupe d'électro M83, dont l'un des membres est le frère du réalisateur Yann Gonzalez.

Parce que les dialogues enlevés de ce court-métrage multiprimé vous feront adhérer au présentisme.

Parce que la réalisatrice de ce court-métrage passé par le festival Côté Court fait partie des cinéastes de demain.

Parce qu'il faut savoir que l'acteur Estéban n'est autre que le fils du réalisateur Philippe Clair, roi de la comédie nanarde ("Le Führer en folie", "Si t'as besoin de rien... fais-moi signe" et autres pépites).

Parce que Les petites vacances s'inscrit dans une tradition française de cinéma, celles des films de vacances.

Parce que ce court métrage montre le « Hellfest », festival spécialisé dans le hard rock, de façon originale. Apocalypse de Benoît Méry le fait découvrir sur scène et dans les coulisses plongeant le spectateur dans un maelström d’images et de sons.

Parce que le film est une fiction mais intègre d'authentiques images de la grossesse de la réalisatrice et actrice Lucie Borleteau, filmées par son amie comédienne Sara Rastegar.

Parce que la première oeuvre de fiction de Justine Triet est déjà une comète, récit d'une nuit entre fête et précarité, rencontre amoureuse et familles cabossées, bohème, Chatroulette et hôpital psy.

Parce que lorsque les corps se produisent aux yeux de tous et que les relations se tendent, il est impossible de cacher le trouble de ses sentiments, en particulier devant la caméra de Louise Courvoisier.

Parce que le combat pour la légalité de l'avortement se doit d'être encore et toujours rappelé.

Parce qu’il s’agit du 1er court-métrage de la future actrice et réalisatrice Sophie Fillières.